Martin Ness
Prénom : Martin
Nom : Ness
Date de naissance : 28 Mars 1993
Club d’origine : ZSC Lions
N° : 81
Position : Attaquant
Statistiques :
2012/2013 : GCK Lions - 49 matchs, 12 buts, 10 assists
2013/2014 : Fribourg-Gottéron - 55 Matchs, 3 buts, 11 assists - Red Ice – 7 Matchs, 1 but, 2 assists
2014-2015 : Fribourg-Gottéron - 31 Matchs, 0 but, 4 assists
Quel est ton pire souvenir en tant que joueur ?
Lorsque je me suis cassé le péroné près de ma cheville droite l’année passée, c’était très dur car j’ai eu 3 mois d’absence dont 1 mois ou je ne devais pas poser le pied par terre.
Si tu n’avais pas été hockeyeur ?
Je pense que j’aurais continué le foot, j’y ai joué jusqu’à mes 12 ans, puis j’ai dû choisir entre le foot et le hockey et le fait que on peut plus facilement faire du foot en hobby que du hockey m’a fait pencher pour le sport de glace. Sinon le travail en économie m’attirait également
A quoi penses-tu quand tu es sur le banc des pénalités ?
J’espère bien évidement que l’équipe n'encaisserapas de but, sinon j’essaie de continuer à vivre le match comme si j’étais avec l’équipe sur le banc.
Quel est ton plus beau souvenir de hockey ?
J’ai eu la chance de participer à des championnats du monde en Russie avec l’équipe de Suisse des U20, le quart de finale se jouait contre la fameuse équipe Russe, nous avons perdu de peu et j’ai marqué face à cette équipe mais malgré le résultat crispant sur le moment ce fut une expérience inouïe.
Le coéquipier qui t’as fait la plus forte impression ?
Claudio Micheli car il jouait encore à 42 ans. Il avait toujours une motivation extraordinaire et travaillait toujours très dur et il donnait énormément de sa personne pour les jeunes, j’ai beaucoup appris grâce à lui.
Quel fut ton goal le plus important ?
Quand je jouais avec les juniors élites de Zürich, nous jouions un match décisif à Berne, si nous gagnions le match, nous étions champions. J’ai marqué le but qui a amené le titre en prolongation, c’était un sentiment de fierté incroyable
As-tu un rituel avant d’entrer sur la glace ?
Je ne suis pas superstitieux, je ne fais rien automatiquement, je n’ai pas de rituel comme je n’ai pas d’objet fétiche.
Comment es-tu arrivé à pratiquer le hockey ?
J’allais toujours patiner à la patinoire extérieure de Küssnacht, une fois j’ai regardé à l’intérieur pour voir si un match s'y déroulait . Ca m’a tout de suite plu et j’ai commencé à ce moment-là
Durant les déplacements en car, que fais-tu à l’aller et au retour ?
A l’aller j’étudie, je parle un peu avec les joueurs et je dors et au retour je joue normalement au UNO avec Mäder, Rochow et compagnie
Que fais-tu en premier après un match ?
Je suis assez pressé d’enlever mon équipement après les matchs, si la victoire est là je fête avec l’équipe, si nous venons de perdre, j’essaie surtout de me remémorer mon match personnel et de me demander ce qui n’a pas joué.
Qu’est-ce que tu aimes le moins dans le hockey ?
Les longs déplacements sont souvent pénibles pour moi, comme je mesure 193cm je ne suis pas forcément à l’aise lors des longs trajets.
Dans quelle patinoire détestes-tu jouer ?
Il n’y a pas de patinoire spéciale ou ça me dérange de jouer, toutes les patinoires ont des bons et des mauvais côtés.
Dans quelle patinoire aimes-tu jouer ?
Le KEK de Küssnacht m’est personnellement très cher car c’est la patinoire de mes débuts, tous mes souvenirs d’enfance me reviennent lorsque nous nous rendons là-bas. Je me dis aussi « Voilà, il y a quelques années je regardais les matchs depuis là-haut » en s’imaginant la patinoire externe.
Quel est l’entraîneur le plus dur que tu as côtoyé ?
Hans Kossmann, c’est un coach qui a toujours été très sincère, il attend beaucoup de chaque joueurs, ça pousse à travailler très dur oui mais ça met aussi énormément de pression.
Marc Tacheron, Département Communication HC Ajoie